Les peintures à l’huile de lin COMTESS ont été utilisées avec succès lors de la restauration d’une propriété ISMH en Isère.
Restauration à l'huile de lin : retour d'expérience
C’est souvent au détour d’une rencontre ou d’un chantier que naissent les plus belles redécouvertes.
C’est ce qu’a vécu Alexis Roux de Bézieux, passionné de patrimoine en quête de peintures à l’huile de lin authentiques et respectueuses des matériaux anciens pour restaurer sa propriété en Isère.
De Saint-Malo à l’Isère, son parcours l’a conduit jusqu’à Jean-Christophe Billaud, fondateur de COMTESS, entreprise spécialisée dans la formulation de peintures patrimoniales.

Une inspiration née au Fort du Petit Bé à Saint-Malo
Tout commence au Petit Bé, fort Vauban restauré par Alain-Étienne Marcel au large de Saint-Malo.
Lors d’une visite du site, Alexis Roux de Bézieux découvre les recherches menées sur les peintures à l’huile de lin.
À l’époque, Alain-Étienne Marcel les formulait lui-même, selon des méthodes historiques incluant du plomb — aujourd’hui interdit — mais dont l’esprit de recherche et de fidélité aux techniques anciennes inspire profondément.
“Cette visite a été le point de départ de ma recherche de peintures naturelles capables de restituer le rendu et la longévité des peintures anciennes.”

Redonner place à la tradition : une quête technique et patrimoniale
Les peintures à l’huile de lin ont longtemps été la référence dans la protection et la mise en valeur du bâti ancien.
Souples, respirantes et durables, elles offrent un rendu incomparable, à la fois soyeux au toucher et profond visuellement.
Alexis Roux de Bézieux entreprend alors une démarche exigeante : retrouver une formulation respectueuse du patrimoine, performante techniquement, et autorisée par la réglementation actuelle.
Une rencontre déterminante : COMTESS et Jean-Christophe Billaud
C’est lors de travaux dans une propriété ISMH (Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques), en Isère, que la rencontre se fait.
Après échange avec Monsieur Vermorel, de la Conservation Régionale des Monuments Historiques, il découvre Jean-Christophe Billaud, de l’entreprise COMTESS, déjà connu pour avoir formulé les peintures de Saint-Antoine-l’Abbaye.
“Nous avons échangé à de nombreuses reprises dans le cadre de restauration de peintures sur bois et sur métal. »
Cette collaboration illustre parfaitement la valeur de la transmission du savoir-faire et la force du dialogue entre artisans, conservateurs et formulateurs.
Mise en œuvre : la technique au service du respect des matériaux
Sur le chantier, chaque étape est pensée pour préserver l’intégrité des supports anciens :
Ce protocole met en avant la polyvalence et la compatibilité des peintures COMTESS, aussi efficaces sur bois que sur métal.
“Les peintures sont souples et agréables à étaler. Elles conservent un aspect soyeux et un toucher agréable dans le temps.”

Un rendu fidèle et durable
Les premières observations sont très positives. Le rendu soyeux, la souplesse du film, et la respiration du support confirment les qualités techniques de la formulation.
“Je suis très satisfait du résultat et du respect apporté aux huisseries et aux rambardes métalliques historiques.”
Même si les teintes sont encore trop récentes pour un lustrage à l’huile de lin, la stabilité et la richesse des couleurs laissent présager une vieillesse harmonieuse, fidèle à l’esthétique des peintures anciennes.
Témoignage client
“Les peintures COMTESS sont souples, agréables à appliquer et conservent un toucher vivant dans le temps. J’apprécie particulièrement le respect des matériaux anciens et la qualité du dialogue avec l’équipe technique.”

Pourquoi choisir la peinture à l’huile de lin pour le patrimoine ?
Quelques raisons essentielles :
Conclusion
Entre savoir-faire ancestral et innovation moderne, la peinture à l’huile de lin formulée par COMTESS réconcilie tradition et exigence contemporaine.
Ce témoignage illustre la voie d’une restauration durable et respectueuse, où chaque couche de peinture devient un geste de transmission du patrimoine vivant.
